Article publié sur la page facebook Rennes le Château les Sources en Novembre 2018
En pleine écriture du tome 3 et dernier des Sources, je classais des notes sur RLC et me voila à nouveau devant le Viva Angelina du plus célèbre Coldcase du Razès.
Ce meurtre non résolu survenu dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1897.
L'abbé Gélis sauvagement assassiné gisant dans son propre sang sur lequel flottait une feuille de papier à cigarette avec une inscription maladroite VIVA ANGELINA...
C'est ainsi que l'histoire nous fut racontée durant des années.
Mais à bien y regarder il n'y a pas véritablement de A à la fin et le VIVA semble plus étre un ensemble de lettres illisibles qu'un cris révolutionnaire clair...
Et si tout bonnement le Angélina n’était pas plutôt
An - Gélis - C .
An (toine) Gélis C(uré)
Et si l'inscription n’était pas tout simplement le nom de la personne à abattre... Comme une note oubliée à dessein .
Cela impliquerait plusieurs choses :
- Un commanditaire, un ou des exécutants et une préméditation.
La date n’étant pas anodine.
Cette hypothèse nouvelle n'en donne pas pour autant le nom du coupable mais permets de voir les choses un petit peu différemment...
Avis aux amateurs...
PS : Depuis 1940, mais put-elle l’être officieusement quelques dizaine d'année avant... ( voir les sources III Game Over pour en apprendre plus sur l'AA )
Depuis 1940, la bibliothèque Angelica est le siège de l'Académie d'Arcadie, dont elle conserve, entre autres, le fonds (environ 4 000 pièces). Depuis 1975, elle relève du ministère pour les Biens et les Activités culturels. La même année, elle fait l'acquisition de la collection de livres du critique littéraire Arnaldo Bocelli (it).